Le jeune palestinien Hayel décide de quitter le camp de réfugiés où il se trouve pour rejoindre l’OLP qui se bat en territoires occupés. Sa première et seule mission, car il mourra héroïquement est d’attaquer un camp israélien.
Pour la deuxième fois la production algérienne s’intéresse à un sujet qui dépasse ses frontières – le premier on s’en souvient était « Les Damnés de la terre » de Ahmed Rachedi– On ne peut pas dire que c’est une réussite ni sur le plan de la réalisation ni sur les thèmes développés. Car au lieu de s’attaquer aux problèmes de fond qui soulèvent la nation arabe sur le sujet, à savoir la lutte politique entre les Etats réactionnaires arabes et progressistes, les scénaristes et le réalisateur ont donné à la cause palestinienne un petit film héroïque, sans intérêt ni sur le plan politique, ni sur le plan cinématographique.