Voici une liste de citations et de proverbes à ajouter dans votre statut Facebook. Citations sur l’ amour, citations humour et bien d’autres encore…
- Les absents ont toujours tort.
- Ventre affamé n’a point d’oreilles.
- Qui aime bien, châtie bien.
- Qui a des noix en casse, Qui n’en a pas s’en passe.
- Quand il n’y en a plus, Il y en a encore.
- Qui terre a, guerre a Qui rien a, pis a.
- Abandon fait larron.
- Un grand homme ne s’abandonne pas à lui même.
- Tout chien qui aboie ne mord pas.
- Abondance de bien ne nuit pas.
- Ce qui abonde ne vicie pas.
- Qui mieux abreuve, mieux preuve.
- Homme sans abris, oiseau sans nid.
- Les présents valent mieux que les absents.
- Les os sont pour les absents.
- On oublie vite les absents.
- Chute d’ardoise pèse plus au présent, Que chute de tour à l’absent.
- Avant d’admettre l’absurde, on épuise toutes les solutions.
- Qui achète ce qu’il ne peut, Vend, après, ce qu’il ne veut.
- Qui achète le superflu, Vendra bientôt le nécessaire.
- Il y a plus de fous acheteurs Que de fous vendeurs.
- Mieux vaut acheter qu’emprunter.
- Ne pas acheter, c’est se faire une rente.
- Achète en foire et vends à la maison.
- Il ne faut pas acheter chat en poche.
- Les plus accommodants sont les plus habiles.
- Un méchant accommodement vaut mieux que le meilleur procès.
- Mieux vaut être seul que mal accompagné.
- Ce que l’on acquiert méchamment, On le dépense sottement.
- Bien mal acquis ne prospère jamais.
- Qui s’acquitte, s’enrichit.
- L’admiration est fille de l’ignorance.
- Adresse passe force.
- Pousse tes faires, Et que ce ne soit pas elles qui te poussent.
- Les affaires se font à table.
- Les affaires font les hommes.
- Il n’est point de petites affaires.
- Dieu nous garde d’un homme qui n’a qu’une affaire.
- Ceux qui n’ont point d’affaires, s’en font.
- Les affaires sont ce qu’on les fait.
- Dans les affaires du monde, ce n’est pas la foi qui sauve, Mais plutôt l’incrédulité.
- Qui a affaire à gens de bien se repose.
- Affaire menée sans bruit, Se fait avec plus de fruit.
- Qui n’a l’esprit de son âge, De son âge a le malheur.
- Plus on pile l’ail, Plus il sent mauvais.
- On ne s’aime bien que quand on a plus besoin de se le dire.
- Qui veut être aimé, qu’il aime.
- Qui aime bien tard oublie.
- Quand on n’a pas ce que l’on aime, Il faut aimer ce que l’on a.
- C’est trop d’aimer quand on en meurt.
- Pour gagner un homme, sachez ce qu’il aime.
- Difficile chose est de souffrir aise.
- Grand peine est d’avoir amassé, Et brief chose de dépenser.
- Les battus paient l’amende.
- Ce qui est amer à la bouche peut être doux au cœur.
- On perd plus d’amis par ses demandes que par ses refus.
- Il ne faut pas laisser croître l’herbe sur le chemin de l’amitié.
- Cadran solaire et faux ami, Parlent tant que le soleil luit, Et se taisent quand il s’enfuit.
- Ami de tous, ami de personne.
- Bonne femme, bon ami, bon melon, Il n’en est pas à foison.
- Il n’y a si bons amis qui ne se quittent.
- Ami de table Est bien variable.
- Les bons comptes font les bons amis.
- Au prêter, ami Au rendre, ennemi.
- Fou est qui perd bon ami pour femme.
- Au besoin, on connaît les amis.
- Mieux vaut mourir prés de son ami, Que de vivre prés de son ennemi.
- Mieux vaut ami que parenté; Mieux qu’ami, sens et loyauté.
- On peut vivre sans frère, mais non pas sans ami.
- Entre amis, tous biens sont communs.
- On connaît les bonnes sources dans la sécheresse, Et les bons amis dans la tristesse.
- Il est moins honteux d’être trompé par ses amis Que de s’en méfier.
- Bonne amitié vaut mieux que tour fortifiée.
- Fol est qui son ami ne croit.
- Ne croit nul s’il n’est ton ami.
- Rien n’est si dangereux qu’un indiscret ami, Mieux vaudrait un sage ennemi.
- Si ton ami est borgne, regarde-le de profil.
- Qui veut garder son ami, N’ait nulle affaire avec lui.
- Il n’est meilleur ami ni parent, que soi-même.
- Les amours commencent par anneaux, Et finissent par couteaux.
- Ancienneté a autorité.
- A rude âne, rude ânier.
- Qui ne peut frapper l’âne, frappe le bât.
- On ne saurait faire boire l’âne s’il n’a soif.
- Tel fait l’âne pour avoir du son.
- Anneau trop étroit, Ne le met à ton doigt.
- Il n’est sauce que d’appétit.
- L’appétit vient en mangeant.
- Pain défendu réveille l’appétit.
- Bien venu qui apporte.
- Il n’est que de vivre pour apprendre.
- C’est le signe d’un fou, qu’avoir honte d’apprendre.
- Apprenti n’est pas maître.
- Entre l’arbre et l’écorce, il ne faut pas mettre le doigt.
- Il faut avoir plus d’une corde à son arc.
- Débander l’arc ne guérit pas la plaie.
- Arc-en-ciel du matin, Pluie sans fin, Arc-en-ciel du soir, Il faut voir.
- Argent changé, Argent mangé.
- Amour fait beaucoup, Mais argent fait tout.
- Marteau d’argent brise porte de fer.
- Veux-tu savoir ce que vaut l’argent ? Empruntes-en !.
- Trésorier sans argent, apothicaire sans sucre.
- Selon l’argent, les violons.
- L’argent sert l’homme sage et gouverne le sot.
- Argent comptant porte médecine.
- Rien de plus éloquent, Que l’argent comptant.
- Quand l’argent marche, tout va bien.
- Ce qui arrive à l’un peut arriver à l’autre.
- Artésien, tête de chien !.
- Ne nous associons qu’avec nos égaux.
- S’attendre n’est pas le bon moyen de s’entendre.
- Qui attend s’ennuie.
- Tout vient à point à qui sait attendre.
- Petit diner longuement attendu, N’est pas donné, mais chèrement vendu.
- En attendant les souliers d’un mort, On marche longtemps pieds nus.
- Qui s’attend à l’écuelle d’autrui, Dine souvent par cœur.
- Ne t’attends qu’à toi seul.
- Le trop d’attention qu’on a pour le danger, Fait le plus souvent qu’on y tombe.
- Tout ce qui peut être fait un autre jour, Le peut être aujourd’hui.
- Tel auteur, tel livre.
- Ne charge pas autrui de ce que tu peux faire.
- Chagrin d’autrui ne touche qu’à demi.
- Chacun décharge son péché, et charge celui d’autrui.
- Jamais par le bras d’autrui, Grands Etat n’ont été conquis.
- Qui s’attend à l’écuelle d’autrui, Risque de rester sur son appétit.
- Le mal d’autrui n’est que songe.
- Il faut se prêter à autrui, Et ne se donner qu’à soi.
- L’avare crierait famine sur un tas de blé.
- L’avare pour vouloir dépenser peu, Dépense le double.
- Avare pour le son, prodigue pour la farine.
- Quand tous les péchés sont vieux, Avarice est encore jeune.
- Il n’est cher que d’avaricieux.
- Un homme averti en vaut deux.
- Une poule aveugle peut quelquefois trouver son grain.
- Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois.
- On peut donner un bon avis, Mais non pas la bonne conduite.
- Ceux qui sont de notre avis, Sont les vrais hommes d’esprit.
- Bon avocat, mauvais voisin.
- Année de vin, point d’avoine.
- Imprudence, babil, sotte vanité, Et vaine curiosité, Ont ensemble étroit parentage; Ce sont enfant tous d’un lignage.
- Un bon bâilleur en fait bâiller deux.
- Souvent il faut baiser le bras dont on voudrait que la main fût coupée.
- Que chacun balaie devant sa porte et les rues seront nettes.
- Il faut prendre la balle au bond.
- Cent ans bannière, Cent ans civière.
- N’aille au banquet, qui ne veut pas manger; Ni sur la mer, qui a peur du danger; Ni à la cour, qui dit tout ce qu’il pense; Non plus au bal, qui n’aime pas la danse.
- Barbe bien étuvée, est à demi-rasée.
- Torche ta barbe et dis que t’as bu.
- Un barbier rase l’autre; Une main lave l’autre; Un âne frotte l’autre.
- A barque désespérée, Dieu fait trouver le port.
- Coureur comme un Basque.
- Les batailles sont en la main de Dieu.
- Qui bâtit, ment.
- Il est plus aisé de bâtir des cheminées, Que d’en tenir une chaude.
- Qui bâtit, pâtit.
- Le bâton est le roi du monde.
- Le mort a le tort, Et le battu paie l’amende Il ne fait pas bon battre un homme la veille de sa mort.
- Nous avons battu les buissons, Et un autre a pris l’oiseau.
- Autant vaut bien battu que mal battu.
- A chemin battu il ne croît point d’herbe.
- Le Béarnois, Feint, faux, courtois.
- Aprés le beau temps vient le laid; Aprés la guerre, la paix.
- Besace bien promenée nourrit son maître.
- Besogne qui plaît est à demi faite.
- Parle peu, fais ta besogne; Sage est qui ainsi besogne.
- Besoin fait maint sentier tenir.
- On ne saurait manier le beurre, Qu’on ne s’en graisse les doigts.
- Qui approche le beurre du feu, Ne l’empêchera pas de fondre.
- Si tu as la tête de beurre, ne te fais pas boulanger.
- Le bien cherche le bien.
- Notre bien et notre mal, ne tiennent guère qu’à nous.
- On a toujours plus de bien que de vie.
- Qui donne son bien avant de mourir, Peut s’apprêter à souffrir.
- Quand viennent biens, ils viennent à monceaux.
- Bienfait qui se fait trop attendre, Est gâté quand il arrive.
- Bienfait reproché, est à demi payé.
- Un bienfait reproché tient toujours lieu d’offense.
- Un bienfait n’est jamais perdu.
- Faute de blé, on mange de l’avoine.
- Chacun sait où le bât blesse.
- La guérison n’est jamais si prompte que la blessure.
- Il ne faut pas faire marcher les bœufs d’un autre Plus vite qu’il ne veut.
- Le grand bœuf apprend au petit à labourer.
- Qui a bu boira.
- Assez boit qui a deuil.
- Plus on boit plus on veut boire.
- Il n’est bois si vert qui ne s’allume.
- Tout bois n’est pas bon à faire flèche.
- Il ne faut pas aller au bois sans cognée.
- Volontiers gens boiteux haïssent le logis.
- Deux fois bon, c’est une fois bête.
- Les bonnes gens sont aisées à tromper.
- Le bonheur est dans soi, chez soi, autour de soi et au-dessous de soi.
- Le bonheur dépend presque toujours de soi.
- Bonheur passe richesse.
- Le bonheur est là où on le place.
- Le bonheur est l’amorce de la témérité.
- Où manque le bonheur, tout soin est inutile.
- Chacun est bossu quand il se baisse.
- La bouche parle de l’abondance du coeur.
- En close bouche n’entre mouche.
- Epargne de bouche vaut rente de pré.
- Qui est dans le bourbier, y voudrait mettre autrui.
- Il ne faut pas qu’on voit jamais le fond de notre bourse.
- Selon ta bourse te maintiens.
- Il n’y a que la première bouteille qui soit chère.
- Le jeu et les bouteilles rendent les hommes égaux.
- Tout ce qui branle ne tombe pas.
- Selon le bras, la saignée.
- Quand brebis enragent, elles sont pires que les loups.
- Il faut tondre les brebis, et pas les écorcher.
- Brebis qui bêle perd sa gueulée.
- Brebis comptée, le loup la mange.
- Le breton menace quand il a frappé.
- Tout n’est pas or dans ce qui brille.
- Dos de brochet, ventre de carpe.
- Les gens sans bruit sont dangereux, Il n’en est pas ainsi des autres.
- Il n’est de si petit buissons, Qui ne porte ombre.
- D’une buse on ne peut faire un épervier.
- Bon capitaine, bons soldats.
- La caque sent toujours le hareng.
- Veux-tu trouver le cârème court ? Fais une dette payable à Pâques.
- On ne peut pas carillonner et être à la procession.
- Qui casse les verres les paie.
- On cause volontier quand on a les pieds chauds.
- Bailler caution est occasion de double procès.
- Cent ans ne sont pas si longs qu’ils en ont la mine.
- Bon cavalier monte à toute main.
- Le cérémonial est la fumée de l’amitié.
- Cerf bien donné aux chiens est à demi pris.
- Il n’y a guère de chagrins raisonnables.
- Cent ans de chagrins ne paient pas un sou de dettes.
- Aujourd’hui en chair, Demain en bière.
- Les choses ne tiennent pas aux champs, Comme elle sont ordonnées en chambre.
- Chance vaut mieux que de bien jouer.
- A chaque saint sa chandelle.
- La chandelle qui va devant, éclaire mieux que celle qui va derrière.
- On change souvent son cheval borgne contre un aveugle.
- Changement de propos réjouit l’homme.
- Changement de temps, entretien de sots.
- Chapon de huit mois, Dinner de roi.
- D’un sac à charbon ne saurait sortir blanche mouture.
- Charbonnier est maître dans sa loge.
- Il faut prendre le bénéfice avec ses charges.
- Charité bien ordonnée commence par soi même.
- Il n’est si bon charretier qui ne verse.
- Qui va à la chasse perd sa place.
- Il n’est chasse que de vieux chiens.
- Chasseur, pêcheurs, preneur de taupes, Feraient beaucoup, n’étaient les fautes.
- Un clou chasse l’autre.
- Inutile est de laidangier (Gronder) Chat, quand le fromage est mangié.
- Chat échaudé craint l’eau froide.
- Il ne faut pas réveiller le chat qui dort.
- Chat ganté ne prit jamais souris.
- Il n’est si petit chat qui n’égratigne.
- On ne saurait retenir le chat quand il a goûté à la crème.
- A bon chat, bon rat.
- On ne prend pas chat sans mitaines.
- Quant le chat n’est pas au logis, Les rats dansent.
- Château pris, ville rendue.
- Ma maison est mon château, Ma maison est mon Louvre et mon Fontainebleau.
- Grande honte à qui châtie autrui, Et soi-même à châtier oublie.
- De trop prés se chauffe, qui se brûle.
- Bonne terre, méchant chemin.
- Tout chemin mène à Rome.
- En chemin battu, il ne croît point d’herbe.
- Au mauvais chemin, double le pas.
- Pour reprendre ta chemise, Ne mets ton héritage en mise.
- Toujours est trop cher Ce qui de rien ne sert.
- Jamais bon cheval ne devient rosse.
- A jeune cheval, vieux cavalier.
- A méchant cheval, bon éperon.
- Aprés bon vin, bon cheval.
- Le déjeuner du cavalier Est la meilleure avoine du cheval.
- Cheval de foin, cheval de rien; Cheval d’avoine, cheval de peine; Cheval de paille, cheval de bataille.
- La modestie est l’art de faire dire par d’autres tout le bien que l’on pense de soi-même. – Philippe Bouvard
- Un homme volage est celui qui ne sait à quels seins se vouer – Claude Robert
- Le piston ne marche qu’avec les huiles. – Philippe Bouvard
- Tout le monde savait que c’était impossible. Il est venu un imbécile qui ne le savait pas et qui l’a fait. – Marcel Pagno
- La culture c’est comme le beurre [ou la confiture], moins tu en as, plus tu l’étales.
- Fuir : prendre son courage à deux pieds. – Alexandre Breffort
- Si ceux qui disent du mal de moi savaient ce que je pense d’eux, ils en diraient bien d’avantage. Sacha Guitry
- Conduire dans Paris c’est une question de vocabulaire. – Michel Audiard
- Il vaut mieux être bête comme tout le monde que d’avoir de l’esprit comme personne. – Anatole France
- N’importe quelle idée semble personnelle dès qu’on ne se rappelle plus à qui on l’a empruntée. – Jules Renard
- Si on ne se mêlait que de ce qui nous regarde, il n’y aurait plus de conversation possible ! – Romain Coolus
- L’absence est à l’amour ce qu’est au feu le vent; il éteint le petit, il allume le grand. – Roger Bussy-Rabutin
- On aime une femme pour ce qu’elle n’est pas; on la quitte pour ce qu’elle est. – Serge Gainsbourg
- On tombe amoureux. Et, comme toujours, quand on tombe, on se fait mal. – François Weyergans
- Qui mène les chevaux, mène ses bourreaux.
- Bien mérite d’aller à pied, Qui ne prend soin de son cheval.
- A cheval hargneux, étable à part.
- Des femmes et des chevaux, Il n’en est point sans défauts.
- Bon cheval va seul à l’abreuvoir.
- A cheval donné, on ne regarde pas la bouche.
- Il est aisé d’aller à pied, quand on tient son cheval par la bride.
- Il n’est si bon cheval qui ne bronche.
- A cheval maigre vont les mouches.
- Qu’un cheval soit mauvais ou bon, Chausse toujours tes éperons.
- De chiens, chevaux, armes, amours, Pour un plaisir, mille doulours.
- La chèvre est la vache du pauvre.
- On ne peut pas sauver la chèvre et les choux.
- Il n’y a pas de petit chez soi.
- Deux chiens sont mauvais à un os.
- Qui veut noyer son chien, l’accuse de la rage.
- A mauvais chien queue lui vient.
- Bon chien, N’aboie pas pour rien.
- Il ne faut pas tuer son chien pour une mauvaise année.
- Au chien qui mord, il faut jeter des pierres.
- Chien hargneux a toujours oreilles déchirées.
- Petit chien, belle queue.
- Bon chien chasse de race.
- A bon chien, bon os.
- Il n’y a toujours que trop de chiens autour d’un os.
- Un chien et un coq sont fort sur leur palier.
- Le chien ne peut pas être chèvre, Ni le lapin devenir lièvre.
- Veux-tu que le chien te suive ? Donne lui du pain.
- Qui couche avec le chien, se lève avec des puces.
- Chien échaudé ne revient pas en cuisine.
- A méchant chien, court lien.
- Il ne faut pas se moquer des chiens qu’on ne soit hors du village.
- Quand les chiens s’entredéchirent, le loup fait ses affaire.
- Chats et chiens, Mauvais voisins.
- Les chirurgiens ne demandent que plaies et bosses.
- Souvent qui choisit, prend le pire.
- Fou qui a le choix et prend le pire.
- Bien bas choit qui trop haut monte.
- Ce n’est pas tout que des choux, Il faut encore de la graisse.
- Si le ciel tombait, il y aurait bien des alouettes prises.
- Trop de civilités Engendre importunité.
- Les plus grands clercs ne sont pas les plus fins.
- Qui n’entend qu’une cloche n’entend qu’un son.
- On n’engraisse pas les cochons avec de l’eau claire.
- Coeur qui soupire, N’a pas ce qu’il désire.
- Bon estomac et mauvais coeur, C’est le secret pour vivre longtemps.
- Il faut avoir le coeur haut, eût-on la fortune basse.
- Le coeur importe plus que la mine.
- Coeur étroit n’est jamais au large.
- Coeur facile à donner, Facile à ôter.
- A coeur vaillant rien d’impossible.
- Agir dans la colère, c’est s’embarquer durant la tempête.
- Il faut savoir obéir avant que de commander.
- Besogne commencée est plus qu’à demi faite.
- Le bien commun n’a amis ni prochain.
- Le bien commun n’a pas de loi, Chacun veut le tirer à soi.
- De bien commun, l’on ne fait pas monceau.
- L’âne du commun est toujours le plus mal bâté.
- Qui sert au commun, ne sert pas à un.
- Compagnon bien parlant, Vaut en chemin chariot branlant.
- (Voiture suspendue).
- Mieux vaut mauvaise route que mauvais compagnon.
- Qui a compagnon a maître, Et principalement si c’est le roi.
- Comparaison n’est pas raison.
- Tout se fait par compère et commère.
- A vieux comptes, nouvelles disputes.
- Qui compte sans son hôte, compte deux fois.
- Erreur n’est pas compte.
- Faute confessée, Est à demi pardonnée.
- Mieux vaut écouter la voix de la conscience, Que le bruit de la renommée.
- Pour bien connaître les autres, il faut se connaître d’abord soi-même.
- Étudier sans réfléchir ne sert à rien.
- Réfléchir sans étudier est périlleux.
- Celui qui pense à être humain ne commet pas de fautes.
- Celui qui comprend son devoir et ne le remplit pas est un lâche.
- Le sage voit l’ensemble, non le détail. Le vulgaire compare et ne généralise pas.
- Le sage voit son devoir. Le vulgaire voit son intérêt.
- Le sage attend tout de lui-même. Le vulgaire attend tout des autres.
- Être humain, c’est aimer les hommes. Être sage, c’est les connaître.
- Le sage respecte tout. Avant tout, il se respecte lui-même.
- Il faut d’abord faire ce qui nous coûte, Ensuite ce qui nous plaît. C’est la vertu d’humanité.
- L’homme parfait parle peu.
- On doit aimer son prochain comme soi-même, Ne pas lui faire ce que nous voudrions pas qu’il nous fît.
- Celui qui parle trop agira difficilement.
- Le fonctionnaire doit penser d’abord à son service, Ensuite à ses appointements.
- On peut obliger le peuple à obéir. On ne peut pas le forcer à comprendre.
- Passé quarante ans, les défauts sont incorrigibles.
- Autrefois, on s’instruisait pour soi-même. Aujourd’hui, c’est pour en imposer aux autres.
- Entre hommes polis et sincères, il n’y a pas de classes.
- A ceux que l’on aime, on ne doit pas épargner le dur labeur. A ceux que l’on estime, on ne doit pas épargner les critiques.
- Après une faute, ne pas se corriger, c’est la vraie faute.
- Soyez polis, vous commettrez peu de fautes.
- Une petite impatience ruine un grand projet.
- Seuls les grands esprits et les sots ne changent jamais.
- Dans les funérailles, mieux vaut douleur qu’ostentation.
- Quand le matin, on a compris la loi morale, on peut mourir le soir.
- De nature, les hommes sont assez semblables.
- Des habitudes viennent les différences.
- Le Ciel seul est grand.
- Comprendre la volonté du Ciel conduit à la sagesse.
- Rendez le bien pour le bien et la justice pour le mal.
- Faire le bien sans chercher de récompense, Fuir le mal sans avoir la crainte du châtiment : Homme rare sous le ciel.
- Le sage s’applique à être lent dans ses paroles et diligent dans ses actes.
- Pour bien gouverner un État, il faut éloigner les beaux parleurs. Ils sont dangereux.
- Ne cherchez pas à régenter ce qui ne vous regarde pas.
- Tout passe comme l’eau d’une rivière.
- Le pur esprit monte dans les airs comme une flèche et devient victorieux.
- L’homme qui sait n’hésite pas.
- Le sage ne s’afflige pas de ce que les hommes ne le connaissent pas. Il s’afflige de ne pas connaître les hommes.
- Le sage est ferme, il n’est pas obstiné.
- Celui qui est respectueux sans mesure est fatigant. Celui qui est franc sans mesure est insolent.
- Dans la colère, le sage pense à ses suites.
- La voie de la raison n’est pas claire. Les sages la dépassent, Les vicieux ne l’atteignent même pas.
- Il est plus facile de se défendre du chagrin dans la pauvreté Que de l’orgueil dans l’opulence.
- Le sage n’accable pas les autres de sa supériorité. Il ne les humilie pas de leur impuissance.
- Celui qui sait obéir saura ensuite commander.
- On peut approuver un juste conseil, Mais l’essentiel est de se corriger.
- Celui dont la pensée ne va pas loin verra ses ennuis de prés.
- Travaillez sans relâche comme si vous ne deviez jamais atteindre le but.
- L’homme supérieur se tient dans le juste milieu.
- Le Ciel voit et entend tout.
- Un sage souverain l’imite.
- Ne rougissez pas d’une erreur, vous commettriez une faute.
- Celui qui plante des vertus doit s’appliquer à les arroser.
- Celui qui arrache des vices doit s’appliquer à détruire les racines.
- La vertu est légère comme un poil, mais rares sont ceux qui peuvent la soulever.
- Un homme habile élève des remparts.
- Une femme habile détruit des remparts.
- Une femme belle et rusée est une chouette qui porte malheur.
- Une tache sur un morceau de jade blanc peut encore être effacée.
- Un écart de langage ne se répare pas.
- Quand une femme te parle,Souris-lui mais ne lui répond pas.
- Qui n’a rien dans son assiette,Regarde au plat.
- Il n’y a que les fous et les Européens qui voyagent !
- Quand les cuisiniers se battent, Tout se refroidit ou se brûle.
- L’oeil le plus juste ne vaut pas la règle.
- Avec le temps et la patience,La feuille du mûrier devient satin.
- Le fruit mûr tombe de lui même.
- Qui a soif, rêve qu’il boit.
- Qui est borgne , plaint les aveugles.
- Qui est aveugle entend mal.
- Bride de cheval ne va pas à un âne.
- A chaque coffre sa clé, On les ouvrira tous.
- On connaît le cheval en chemin, Et le cavalier à l’auberge.
- Agneau en peau de tigre, Craint encore le loup.
- Qui voit le ciel dans l’eau, Voit les poissons sur les arbres.
- Le plus gros brin de chanvre, ne saurait faire un câble.
- Ce ne sont pas les puces des chiens qui font miauler les chats.
- Qui ne peut pas dormir, trouve son lit mal fait.
- Lorsque l’on tombe, ce n’est pas le pied qui a tort.
- Qui bat les buissons fait sortir les couleuvres.
- N’attends pas des autres ce que tu ne veux pas leur promettre.
- Quand le peigne est trop fin, il arrache les cheveux.
- Ce n’est pas faute de voir loin que l’on tombe.
- Il ne faut pas attendre la soif pour tirer l’eau du puits.
- Qui suit le villageois, ira au village.
- Le boeuf mange la paille, et la souris le blé.
- Oiseau qui chante n’a pas soif Agneau qui bêle veut téter.
- Il n’est si bon miroir que plus belle que soi.
- Tout bois est gris quand il est réduit en cendres.
- Gagner un procès, c’est acquérir une poule en perdant une vache.
- Les nuages passent mais la pluie reste.
- Qui voit l’orage dans les nuées, ne sera pas mouillé.
- Qui a dix lieues à faire doit compter neuf pour la moitié.
- Vent arrière et beau temps, rapprochent les écueils.
- Arbre renversé par le vent avait plus de branches que de racines.
- Les plats du premier service sont toujours les plus chauds.
- Fleuve paisible, rives fleuries.
- Chien au chenil aboie à ses puces, Chien qui chasse ne les sent pas.
- Coeur gâté, bouche puante.
- Le pied de la lampe est le moins éclairé.
- Peu de paroles, peu d’affaires.
- Qui a les main gelées, ne trouve pas l’écuelle trop chaude.
- Qui donne du mauvais vin à ses hôtes, Ne bois chez eux que du thé.
- Qui se laisse donner, n’est pas bon à prendre.
- La rose n’a d’épines que pour qui veut la cueillir.
- Quand tout le monde a dîné, Il n’y a plus de différence que dans les écots.
- La porte la mieux fermée, est celle que l’on peut laisser ouverte.
- Qui élargit son coeur, rétrécit sa bouche.
- Que de bons jours qui n’ont pas de bons soirs !
- Le plus beau lendemain ne nous rend pas la veille.
- A femme hargneuse, mari brutal.
- La gravité n’est que l’écorce de la sagesse, Mais elle la conserve.
- Qui boit sans soif fera diète malgré son appétit.
- Dès qu’il s’agit d’argent ou de compte, Finissez tout ou vous ne finirez rien.
- Qui ne sait par où il est venu, Ne saura par où s’en aller.
- Qui bat le chien doit songer au maître.
- Chaumière où l’on rit, vaut mieux que palais où l’on pleure.
- Chien qui relève la queue, méprise son ennemi Tigre qui la baisse va le dévorer.
- Plus le piédestal est beau, plus la statue doit l’être.
- Mieux vaut mécontenter par cent refus, Que de manquer une seule promesse.
- Les réflexions qui descendent dans le coeur, Mènent plus loin que celles qui vont au bout du monde.
- Quel est l’homme le plus insupportable ? Celui qu’on a offensé et à qui l’on ne peut rien reprocher.
- Mieux vaut essuyer la larme du paysan, Que d’obtenir cent sourires du ministre.
- Il n’y a de tache qu’en un endroit, et tout l’habit est gâté.
- Il n’est de métal si dur que le feu n’amollisse, Ni affaire si mauvaise que l’argent n’accommode.
- C’est dormir toute la vie que de croire à ses rêves.
- La mémoire peut contrefaire l’esprit, mais non le suppléer : Mille souvenirs ne donnent pas une pensée.
- La mère la plus heureuse en fille, est celle qui n’a que des garçons.
- La science est toujours utile, On ne perd pas le temps employé à l’acquérir.
- Les siècles où l’on a nié le plus de vérité, Sont ceux où l’on a rêvé le plus de fables.
- Si la cuisine n’est pas un art dans les campagnes, La pharmacie n’y est pas une science.
- Nul n’a si peur des revenants que qui ne croit pas aux esprits.
- Plus le méchant est riche et honoré, Plus l’extinction de sa race est assurée.
- Plus les repentirs sont prompts, Plus ils en épargnent d’inutiles.
- Qui se craint lui-même, N’a plus rien a craindre.
- Il faut être bien sage ou bien borné, Pour ne rien changer à ses pensées.
- La lance la plus émoussée, est celle dont la poignée est rompue.
- Un jour en vaut trois pour qui fait chaque chose en son temps.
- Qui s’endort en médisant, Se réveille calomnié.
- Il faut croire ses domestiques, et ne pas les écouter.
- Qui connaît son coeur, se défie de ses yeux.
- Qui médit de moi en secret, me craint; Qui me loue en face me méprise.
- Qui est embarrassé de son loisir, est toujours accablé d’affaires.
- Les profits injustes sont comme la fausse monnaie; Plus on en a, plus on risque.
- Qui cède le haut du pavé, s’élargit le chemin.
- Plus on approche de l’ennemi, Plus les tigres de cour deviennent agneaux.
- Les fautes les mieux reprises, sont celles dont on fait rougir par ses exemples.
- Les tombeaux s’ouvrent à chaque instant, Et se referment pour toujours.
- Qui emprunte pour bâtir, bâtit pour vendre.
- Qui ment trois fois, n’est pas cru une.
- Le vide d’un jour perdu ne sera jamais rempli.
- La boue cache un rubis, mais ne le tache pas.
- Le gouvernement doit être doux, et les ordres sévères.
- Nul ne parle si hardiment d’un général qu’un goujat; Ni d’un sage, qu’un étourdi.
- On ne rit jamais si fort, si longtemps et si haut, Que lorsqu’on veut cacher sa douleur.
- C’est véritablement s’enrichir, que de s’ôter ses besoins.
- Il faut faire vite ce qui ne presse pas, Pour pouvoir faire lentement ce qui presse.
- Mieux vaut remplir ses greniers, que ses coffres.
- Quand il y a du riz qui moisit dans la cuisine, Il y a un pauvre qui meurt de faim à la porte.
- Mieux vaut ne pas tirer un tigre, que de ne faire que le blesser.
- Qu’est-ce qu’un sot qui a fait fortune ? C’est un pourceau qui ne sait quoi faire de son lard.
- Une réponse qui ne résout pas la difficulté, En fait naître mille autres.
- On ne jouit bien de toute sa sensibilité que par un amour innocent.
- C’est s’aimer bien peu que de haïr quelqu’un; Mais c’est haïr tout le monde , que de n’aimer que soi.
- Ce n’est pas le puits qui est trop profond; Mais c’est la corde qui est trop courte.
- Le mérite de ceux qui louent, fait le prix des louanges.
- C’est se rendre le complice d’une impertinence, que d’en rire.
- Qui peut panser sa plaie est à moitié guéri.
- Les maladies entrent par la bouche, les malheurs en sortent.
- Le malheur n’entre guère que par la porte qu’on lui a ouverte.
- Le secret le mieux gardé est celui qu’on garde pour soi.
- Il en est de la cour comme de la mer: Le vent qu’il fait y décide de tout.
- Mieux vaut sauver un mourant que d’enterrer cent morts.
- Qui a la vue courte doit regarder de près.
- L’on craint d’autant moins les autres, Qu’on se craint plus soi-même.
- Qui change de couleur en voyant de l’or, Changerait de geste s’il n’était pas vu.
- Ce n’est qu’avec les yeux des autres qu’on peut bien voir ses défauts.
- On peut guérir d’un coup d’épée, Mais guère d’un coup de langue.
- La singularité n’est un mérite que pour ceux qui n’en on pas un autre.
- Rien ne manque aux funérailles des riches, Que des gens qui les regrettent.
- Quand les chansons donnent de la célébrité, La vertu n’en donne guère.
- On n’a jamais tant besoin de son esprit que lorsqu’on a affaire à un sot.
- La vie la plus heureuse finit avant la mort.
- La plus courte vie a des siècles de douleur.
- Laissez au peuple toute les ignorances qui ne le trompent pas.